PARTIE 1
Dans la vie, je suis informaticien et en plus, je suis pompier volontaire dans une petite caserne.
Laura est vendeuse dans une boutique de fringues de luxe.
Alors, vous allez me dire, qu’est-ce qui ne va pas ?
Eh bien, ce qui ne va pas, c’est notre libido. Il n'y a pas eu le moindre contact entre nous depuis au moins un an, pas même un câlin. Lorsque je lui propose, elle botte en touche.
Je pense que ma façon de lui faire l’amour ne lui convient plus. Je ne crois pas qu’elle a des aventures ou un amant.
Par contre, je suis sûr qu’elle se masturbe, j’ai entendu des plaintes dans la salle de bain à plusieurs reprises.
J’ai donc décidé de lui tendre un piège sans rien lui dire.
Je veux absolument savoir pourquoi elle ne baise plus. Peut-être qu’elle n’aime plus les hommes.
J’ai demandé à l’un de mes jeunes collègues pompiers, Simon, en qui, j’ai toute confiance, de venir un dimanche midi pour manger et de rester aussi l’après-midi. Bien sûr, il me répond oui avec plaisir. Ma femme et lui ne se connaissent pas.
Par contre, j'ai une demande très particulière à te demander, Simon.
Ah bon, mais quelle est cette demande ?
Si tu es d’accord, je te propose de draguer ma femme ce même jour et probablement même de lui faire l’amour.
Mais tu dérailles complètement, mon pauvre Paul, pourquoi une telle demande ?
Je lui explique la situation, pas de rapport depuis une année, ses refus systématiques lorsque je lui demande. Pour l’amadouer et pour le décider, je lui montre une photo de Laura en vacances au bord de mer, en maillot de bain une pièce.
Il me dit, c’est une très belle femme, elle a beaucoup de charme.
Tu es sûr, qu’elle ne va pas voir ailleurs ? Me dit-il.
Je ne crois pas.
Toujours est-il, qu’il refuse et se sauve en arrêtant la conversation.
Je reste là, dépité dans la cour de la caserne.
J’abandonne cette idée saugrenue dans ma tête.
Au bout d’une semaine, je reçois un coup de fil de Simon.
Sans me dire bonjour, j’entends Simon me dire, je suis d’accord, j’accepte ta proposition. Je vais faire l’amour à ta femme.
Quelle surprise. Je te remercie beaucoup. Il faut que l’on se rencontre pour établir un plan.
Deux jours après, je suis avec lui et l’on commence à se mettre au point.
Il me demande ses préférences sexuelles.
Tu sais, ce n’est pas une grande amoureuse, du moins, pas avec moi.
Elle aime les caresses sur ses seins, des petits bisous dans le cou, mais ce qu’elle adore, c’est une main qui remonte à l’intérieur de ses cuisses jusqu’à son sexe et en général, toutes les caresses douces.
Par contre, elle n’aime pas trop rendre la pareille. Elle n’aime pas sucer, pas question, non plus de sodomie. J’ai voulu un jour essayer et je me suis fait traité de sale vicieux.
Je te propose de la draguer devant moi à table, mais en cachette très discrètement.
Par exemple, fait lui du pied, commence à poser une main sur un genou.
Devant moi, je suis sûr qu’elle ne va pas oser une réaction violente.
Moi, je partirai dehors faire le barbecue pour te laisser le champ libre.
Vers la fin du repas, je vais recevoir un appel pompier et je serai obligé de partir. Toi, c’est ton jour de repos, tu ne peux donc pas venir.
De cette façon, tu resteras seul avec elle et tu en profiteras pour l’aborder.
J’ai aussi, dans pratiquement toutes les pièces, de petites caméras qui sont là, pour éviter les vols.
Mon ordinateur portable me permet de les enclencher à distance, tout en pouvant observer et écouter ce qui se passe.
Je serai dans ma voiture dans le petit-bois à environ 500 mètres d’ici.
Voilà mon plan, qu’en penses tu ? Je te laisse complètement libre de décider ce que vous voulez faire ensemble, pour autant qu'elle y consente volontairement et sans être forcée.
Le jeune pompier propose une drague assez ferme, avec une certaine dose d’autorité. J'envisage d'employer le vouvoiement dans notre conversation.
Simon a répliqué : "C'est certainement une demande plutôt insolite, mais je suis quand même partant.
Paul, tu es vraiment sûr ? Et si, elle participe, tu fais quoi ? Tu vas peut-être devenir cocu et en plus en direct. Es-tu vraiment prêt de voir de telles scènes ?
Je ne sais pas, répond le mari. Je ne suis pas jaloux.
Le rendez-vous arrive.
Le fameux dimanche arrive, Laura est bien sûr au courant de l’invitation de mon collègue.
Simon est un jeune pompier de 35 ans. Son apparence est assez séduisante, il est brun et a une musculature développée. Il va trois fois par semaine faire de la musculation. Il n’est pas marié, mais il a de nombreuses aventures.
L’uniforme l’aide aussi énormément et lui facilite les contacts avec la gente féminine.
Après les présentations, je place Simon juste à côté de Laura. Et moi, je suis en face de ma femme.
Laura avait mis pour l’occasion, une belle robe assez courte, juste au-dessus du genou, cintré à la taille par une ceinture.
Je suppose que la culotte, généralement un tanga et son soutien-gorge sont aussi affriolant avec une bonne dose de dentelle.
Pendant l’apéritif, Simon lui glissa gentiment des compliments sur le charme de sa tenue.
Il commença de s’approcher d’elle, suffisamment pour que les deux genoux se frôlent.
Je la vois s’écarter un peu avec de la gêne dans les expressions de son visage.
Elle fait très attention à ce que je ne remarque pas son petit manège.
Simon insiste, et les deux genoux puis les cuisses se touchent en permanence.
Elle ne peut plus reculer. Il y a le pied de la table qui la bloque sur sa droite.
Je prends la parole et dis. Bon, je sors pour m’occuper du barbecue. Laura, tu peux rester avec Simon, je n’en ai pas pour longtemps. Simon sert toi, ainsi que Laura, elle adore le Champagne.
J’en profite pour sortir, ils sont seuls, tous les deux.
Ils se parlent et je me demande ce qu’ils se disent. Le visage de ma femme est dur.
Je vois la main de Simon qui se pose sur le genou gauche de ma femme. Elle la retire immédiatement.
C’est à ce moment que je décide de rentrer.
Alors, les amoureux, cela se passe bien ?
Le champagne est encore assez frais.
Laura, me dévisage par rapport à mes paroles.
Les conversations reprennent et sans attendre, Simon repose doucement sa main. Bien sûr, je fais celui qui ne remarque rien. De toute façon, cela se passe sous la table.
Ma femme ne bouge pas, je suppose que cette main remonte minutieusement et lentement sur ses cuisses.
Mon épouse sert ses cuisses autant qu’elle le peut.
Simon le sait bien. C’est une caresse que ma femme apprécie.
Je constate un changement sur le visage de Laura. Ses yeux deviennent hagards. Sa bouche s’entrouvre un peu et laisse apparaître un petit bout de langue.
Au bout d’un moment, j’entends au-dessous de la table un léger bruissement de tissus, c’est sans doute sa robe qui frotte sur la chaise.
Il me semble que ma femme est sur le point de céder et d'écarter les cuisses pour rendre plus aisé l'accès de l'intruse.
À cet instant, l'époux méprisable que je suis fait une demande.
Ça va, ma chérie, tu ne dis plus rien, tu fais une drôle de tête.
Tu n’es pas souffrante au moins ?
Eh, non, tout va bien, j’ai juste un peu trop bu.
Comme prévu, le bip des pompiers retentit. J’appelle la caserne qui me dit de partir dans les plus brefs délais. Bien sûr, cette alarme est fausse.
Désolé, mais je dois vous quitter, j’en ai pour deux ou trois heures. C’est un début d’incendie.
Simon, tu peux rester là, tu es en congé. Ce soir, nous terminerons les restes de la grosse côte de bœuf. Qu’en penses tu, Laura ?
Après une certaine hésitation et prise au piège, elle ne peut répondre que par oui, très embarrassée.
Eh bien, dit Simon, en souriant, si Laura est d’accord, je suis disponible.
Je vous appelle tout à l’heure pour vous signaler que je rentre.
À tout à l’heure.
Je prends mon portable et je monte dans ma voiture pour me rendre dans le petit-bois, 500 m plus loin.
Je me gare et utilise l’ordinateur.
J'active le dispositif de surveillance et j'obtiens les vidéos avec audio de toutes les caméras de la maison.
Je vois ma femme et Simon qui sont toujours dans la salle, assis autour de la table.
Je suis perplexe, mon épouse aurait dû se lever et lui donner une gifle en plein visage. Mais, non, elle reste à sa place.
Simon commence à lui parler d'une voix apaisante.
Dès que je vous ai vu, Laura, je n’ai eu qu’une envie, c’est de vous faire l’amour comme un fou.
Je vous trouve extrêmement attirante et séduisante.
J'aimerais admirer les trésors cachés sous cette superbe robe.
Mais vous êtes fou, dit-elle, je suis mariée avec Paul, votre ami. Ce n’est pas possible et je suis plus âgée que vous.
Le jeune homme lui répond que Paul ne sera pas au courant et que, contrairement à ce qu'on pourrait penser, l'âge n'est pas du tout un obstacle.
Avez-vous déjà trompé votre mari ?
Bien sûr que non, répond elle.
Donc, il vous fait bien l’amour et cela vous satisfait.
Euh, non plus, c’est toujours la même chose avec lui. Je m’ennuie terriblement. Il est trop gentil et trop prévisible.
Vous vous masturbez ?
Après un long silence, elle répond, cela ne vous regarde pas.
Simon insiste et repose la question. Après une longue pause, ma femme finit par répondre, d'une manière qui laisse clairement transparaître son malaise, oui, c'est plutôt fréquent.
Pendant la conversation, la main de Simon continue sa progression jusqu’à prendre contact avec le fin tissu de sa culotte.
Mon épouse, surprise, réagit par un sursaut sur sa chaise et lance un oh ! Laura tente de lui retenir sa main avec force et conviction.
Laissez vous faire, madame.
Il entoure Laura avec son bras droit et attire sa bouche pour lui donner un doux baiser.
La bouche de Simon descend à la base du cou et lui donne une multitude de tendres baisers.
Je perçois mon collègue lui suggérer d'écarter ses cuisses, tandis que sa main se prépare à investir son intimité.
Ma femme capitule et ne se défend plus, au contraire, je la vois ouvrir ses jambes.
Les doigts écartent le fin tissu et glissent de haut en bas sur toute la fente qui est déjà trempée et dégoulinante.
Laura saisit brusquement ses bras et émit d'abord un gémissement à un rythme lent, qui devint de plus en plus rapide et fort.
C'est en étant assis dans ma voiture que j'arrive à la conclusion que la source du dysfonctionnement, c'est moi.
Ce spectacle me fait bander terriblement.
Mais en même temps, je suis dégoûté et déçu.
Simon arrête les caresses et lui dit, je ne vais pas vous faire jouir tout de suite, nous avons le temps.
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